Parades Nuptiales
« Parades nuptiales est une malle à trésors mélodiques et poétiques qu’il est temps d’ouvrir. Les mélodies y sont pénétrantes, enlevées ou mélancoliques, empruntant aux musiques traditionnelles. Les riches accords polyphoniques y provoquent des frissons. Les paroles, si peu communes, passent en revue les sentiments transformés en orties, la nostalgie qui vire vinaigre. Des textes pleins de trouvailles, où l’on croise une tisserande filant un mauvais coton, un garçon “à la colère étalon” monté sur ses grands chevaux. »
— Jean-Yves Dana / La Croix
Parades Nuptiales
« Parades nuptiales. Un hymme à la vie, avec d’étonnantes sonorités traditionnelles, andalouses et africaines. »
Daniel Morvan / Ouest France
Sortie 2012
La parade nuptiale
Liseron et orties
Tournage de “La parade nuptiale”
Le 12 novembre 2011 sur les bords de Loire...
"La parade nuptiale" en studio
Distribution
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Paroles et musique : Delphine Coutant
Delphine Coutant : chant, violon, piano
Arrangement : L. Tafomat, M. Trutet, R. Prual, C. Piot, C. Havard, D. Trutet, D. Coutant, H. Pluviôse, E. Foucault
Maude Trutet : choeurs, chant & harmonium indien
Line Tafomat : choeurs & chant
Daniel Trutet : violoncelle, choeurs, guitare électrique, grosse caisse & tambourin
Erwan Foucault : guitare électrique
Ronan Prual : basse, contrebasse & trompette
Christophe Piot : batterie, percussions, xylophone & cajon
Hugues Pluviôse : guitare électrique, piano
Christophe Havard : saxophones
Chant Comme le café empêche de s’étendre : Delphine Coutant, Nicolas Jules, Hugues Pluviôse, Daniel Trutet, Ronan Prual, Maude Trutet, Line Tafomat
Chorale : Les Qu’ont pas d’nom de la chanson
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Enregistré et mixé par Daniel Trutet
Masterisé par Antoine Thibaudeau au studio Rumble Sound
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Réalisation & photographies : Denis Rochard
Maquillage & coiffure : Sylvie Aubry
Costumes : Anne-Emmanuelle Pradier
Graphisme : Karim Douis - Cyanéa
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Réalisé par Daniel Trutet et Delphine Coutant
Production : La Cueilleuse
Coproduction : Comme le café & Elips
Suivi de production : Elise Mainguy - Comme le Café
Coordination : Jacques Panis - Quart de Lune
Conseil artistique : Samuel Pasquier
Presse
“ A l’instar d’une Camille, de Claire Diterzi et de quelques autres, Delphine Coutant bouscule les règles un peu trop convenues de la chanson française en nous faisant voyager dans un univers étrange, éclaté, qui, si l’on était obligé de faire des comparaisons, pourrait se rattacher à ceux de Brigitte Fontaine (pour le côté absurde de certains textes) ou de Kate Bush (pour les prises de risque musical). Musicienne autant que chanteuse, elle invente beaucoup, surprend et impose son intrigante originalité. ”
— La Vie / Eric Tandy
“ Depuis l’envol de l’Alouette il y a déjà dix printemps, Delphine Coutant n’a rien perdu de sa sincérité pour proposer des chansons autant personnelles que risquées. Une jolie parade où la délicatesse des instruments laisse au chant, aux choeurs et aux harmonies vocales une place centrale donnant alors à ce quatrième opus un visage sans âge et sans époque, au service du texte. ”
— Francofans / Arnold Faivre
“ Tranquillement, obstinément, irrésistiblement, la Nazairienne Delphine Coutant, aujourd’hui nantaise, sème des albums de plus en plus achevés, cailloux blancs d’une carrière d’auteur-compositeur-interprète exemplaire... Textuellement et mélodiquement, c’est non seulement irréprochable, mais côté instrumentation et arrangements, c’est littéralement aérien et lumineux. Jamais rien ne pèse, mais tout colore le paysage par touches impressionnistes qui touchent à cœur, enlaçant la voix si habitée et émouvante de la chanteuse. ”
— Place Publique / Jean Thefaine
“ Puisque la chanson française a du plomb dans l’aile - c’est cyclique - on est ravi d’entendre ici un disque de chansons qui réveille plein de choses. Avec ce quatrième album, la nantaise prouve qu’elle est devenue grande, du côté de Daphné, de Claire Di Terzi.
Des références. ”
— Ouest-France / Michel Troadec
“ Belle, mystérieuse, sorte de cousine éloignée de Camille (audace de l’expérience vocale, du raffinement dans les structures musicales) et de la Mylene Farmer flanquée de Boutonnat des années 80 dont elle partage l’aura, un certain mystère, Delphine Coutant impose son identité, son authenticité et nous ensorcelle avec ses chansons depuis le premier disque, Alouette, 2002. La chanteuse est exigeante, tient la barre haute. Armée de son chant profond, elle distille les mots sur des mélodies qui ne ressortent plus de la mémoire. Impossible d’oublier Tisserande, chanson de 4’04 minutes, pénétrante, primitive, organique. ”
— Culture et chanson / Luc Melmont
“ L’auditeur quel qu’il soit retiendra forcément toutes les ondes positives et toute la beauté impérissable qui se détachent seconde après seconde de pièces formidablement abouties comme La parade nuptiale mais aussi de Noces d’hiver, Tisserande et Liseron et orties. ”
— Zicazic / Fred Delforge
“ Delphine Coutant, vers un excellent cru 2012. Cette nantaise (son cœur est à Saint-Nazaire), dont l’écriture se bonifie au fil des albums, a déjà enregistré quelques pépites dont la sublime Noces d’hiver. ”
— Presse Océan / Stéphane Pajot
“ Une merveille de justesse, d’équilibre, de trouvailles subtiles, d’architecture faussement fragile. Laissez-vous embarquer dans l’ironique Parade nuptiale, avant de craquer, forcément craquer, sur les bouleversantes Noces d’hiver. Le côté tribal de Tisserande et la fraicheur aérienne de Liseron et orties devraient achever de vous convaincre. ”
— Place Publique / Jean Thefaine