Comme le café empêche de s'étendre

« Pour n’exprimer que du sentiment, Delphine Coutant nous renvoie à l’essentiel… et ce qui peut déranger c’est que l’essentiel c’est nous-mêmes ! (…) Jusqu’à la façon de jouer de la guitare électrique, tout est contraire à ce qu’il faut bien reconnaître être un conditionnement ! (…) une délicatesse, une discrétion naturelle, une simplicité avec la voix, le geste, le déplacement, le texte, etc (…)

On n’est plus habitué parce que cette voix nous vient de l’intérieur et n’a l’ambition de nous atteindre que par le climat, le ressenti, la sensation et même le silence partagé (…) Une sorte de complainte sans souffrance aucune si ce n’est celle des autres (les hommes libres, la femme algérienne, tout simplement magnifiques !). »

— Jean-Pierre Dallemand / Théâtre de Cordemais

Comme le café
empêche de s'étendre

« Voilà un univers musical qui sert à merveille le climat étrange et onirique de cet album. De la maturité et de l’originalité ! Envoûtant et troublant ! »

Francis Panigada / Chant’Essonne


Sortie 2005

Presse

“ Cette jeune chanteuse à la voix aérienne propose un univers musical singulier, intime et chaleureux. L’apparence du personnage est conforme à l’idée que l’on s’en fait à l’écouter (…) une authentique personnalité, doublée d’un incontestable talent. ”


— Le Point / Philippe Dossal

“ Réfléchie, intuitive, sensible (…) profonde, sa mélancolie est sa force ”


— FrancoFans / Jérôme Fabre

“ Il est plus que temps de se pencher sur l’univers de Delphine Coutant (…) L’adaptation bien troussée d’un conte et quelques jolis instrumentaux complètent ce disque particulièrement vivant. ”

— Ouest France / Michel Troadec